Lundi 28 février
1
28
/02
/Fév
14:00
Lundi c'est le jour ou j'ai un peu de temps pour ecrire quelques bafouilles et a chaque fois, je me dis merde alors de quoi je vais parler, qu'est-ce que je vais bien pouvoir poser comme maux sur
le papier virtuel, dés fois, souvent d'ailleurs, rien ne vient, tout s'echappe de moi, les textes commencent et ne se terminent jamais alors il ne voient pas le jour, il y'a un nombres important
de textes innachevés qui sont là en brouillons certains depuis quelques années et il resteront inachevés car en fait c'est dans le non aboutissement qu'il sont terminés.
Et voilà je divague encore, j'etais parti sur un sujet, sur une discussion que je viens d'avoir avec Tom et me voilà embarqué ailleurs.. Mais bon, depuis le temps je suis sur que vous avez tous
un GPS pour me suivre.
Comme d'hab, j'ai des envies, des fantasmes encore et toujours, j'en ai plein mes tiroirs, il suffit de se donner la peine et on est tous capable d'en sortir à la pelle, revoir des contacts de
longue dates, en voir de nouveaux, s'inventer des histoires, pouvoir se faire plaisir sexuellement sans se poser de questions métaphysique, en d'autres termes, sans se prendre la tête. Avoir la
possibilité de .. c'est déjà d'une excitation intense.
Je me demande, d'où vient ce besoin pour moi de multiplier les contacts, de garder le lien avec les gens qui importent et qui pourtant ne font parti que de ma "vie secrete", de leur raconter bien
souvent les mêmes choses, de parler de soi, de sa petite personne, de ses petits ennuis inninteressant de les écouter aussi de suivre tout simplement les vies années aprés années.
Le blog participe à tout çà, pourquoi se raconter si ce n'est pour être lu et pour faire son interessant, pour se rendre interessant, pour se croire interessant... Tout vient de plus loin sans
doute, il doit y être question d'abandon, de doute perpetuelles, d'un besoin indescriptible de plaire et donc par extrapolation de faire plaisir.
Ici, j'ai au moins le mérite de plaire pour ce que je suis et de ne pas m'inventer de personnage, si le personnage que tu as en face de toi ne te plait pas pars loin et ne reviens jamais.
J'ai toujours cru être un grand solitaire, du moins je l'ai cru jusqu'a mes 23-24 ans, je me suis fourvoyé, je peux vivre seul mais être entouré me convient mieux, être aimé aussi quelque soit le
type d'amour que l'on me porte.
Pourquoi alors que j'ai une vie plaisante, une femme, une fille, un amant, j'éprouve toujours le besoin d'aller essayer d'autres choses, d'aller goûter d'autres peau. Est-ce un besoin de liberté
inextinguible ? Un moyen d'être sûr de pouvoir échapper à l'emprise de Tom le jour où il le faudra ? L'envie de savoir si tout est toujours possible?L'envie de se faire du bien, oui mais jusqu'ou
aller ?
Il n'y a pas de réponse aux questions, ou sans doute oui à toutes.
Ce qui est sur c'est que cette relation actuelle, est absolument passionnel, nos corps se réclament, un geste, un regard et le feu brule, je n'ai aucune envie de me priver de cette sensation
délicieuse qu'on a pas cherché à ce niveau là, elle s'est créé comme çà, parce que c'est moi et parce que c'est lui.
Il n'a aucunement le "droit" de me dire de ne pas aller voir ailleurs, je n'ai pas le "droit" de m'empecher de faire ce dont j'ai envie de peur de le perdre .. et pourtant...
"Je ne t'aime pas", je n'ai aucune envie d'abandonner ma copine pour vivre avec toi, je me souviens avoir eu ce problème là avec Joffrey m'être poser cette question. Ca ne se reproduit pas avec
Tom et c'est tant mieux, c'est ce qui fait que l'on vis ce qu'on a à vivre sereinement et avec fougue, ce qui fait qu'on est sur la même longueur d'onde. La seule différence sans doute de taille
entre nous c'est que quand lui peut se contenter uniquement de moi, je me dis que de mon côté j'ai l'impression de faire un sacrifice, gommer une partie de moi.
Allez pour finir et parceque je sais qu'un post de ce type peut laisser un goût amer aux lecteurs
N'ayez pas peur, TOUT VA BIEN, je ne me sens pas malheureux, déprimé, prisoniè, j'ai juste envie de raconter un état de fait, il n'est jamais evident de transcrire avec des mots ce qui peut nous
passer par la tête, j'essai juste de le faire au mieux.