Je ne peux vous offrir des mots en ce moment alors voiçi ceux de TOM

Je prends mon Larousse (non en fait Larousse.fr, vivons avec notre temps) pour aller voir ce qui peut bien se raconter à propos de cette curieuse activité à laquelle nous nous sommes adonnés.

Courir.
Se déplacer rapidement, en s'appuyant alternativement sur une jambe puis sur l'autre ou sur une patte puis sur l'autre. C'est donc ça, un coup une patte, un coup l'autre. Tantôt le pote hétéro qui part faire du sport pour la forme, tantôt l'amant fougueux qui n'aspire qu'à goûter à nouveau à ses lèvres, à son odeur, à son corps, inexplorés depuis trop longtemps. Alternativement, une face puis l'autre avec le rythme qui s'impose à nous, selon nos envies. "vous partez quand en vacances?" tout en connaissant la réponse qui fait que nous nous retrouvons là ce soir pour pallier à une éventuelle trop longue période sans sexe entre hommes. Quelle course!

Courir.
Aller vite quelque part. Peu importe la destination, peu importe le temps que ça mettrait, nous y allions. Là-bas, ailleurs, vers ce lieu indéfinissable, impalpable, où nous sommes tout simplement bien. D'ailleurs, avions nous encore la clé? L'un de nous pouvait il laisser l'autre sur le pas de la porte sans pouvoir l'emmener? Rien n'était sûr. Seule l'envie nous poussait et nous disait qu'il était temps d'y aller, qu'il était impossible de repousser une éventuelle entrevue à 3 semaines.

Courir.
En parlant de l'imagination, de la pensée, se développer, fonctionner librement ; errer, vagabonder. Un chemin, des champs, quelques arbres, de la paille, au loin la route, tout près la voie ferrée. Il n'a pas fallu longtemps à notre pensée pour vagabonder le temps d'une entrevue, sortir de nos corps brûlants, en les laissant livrés à eux mêmes, abandonnés l'un à l'autre. Plus rien, plus personne, ne restaient plus que nos instincts bestiaux posés là au milieu de nullepart, prêt à s'adonner à leur distraction favorite.. Jusqu'à ce bouche à bouche brûlant (qui me fait de l'effet rien qu'en l'écrivant), apothéose de la fusion entre nos corps, nos lèvres collées, notre air partagé comme si nous faisions qu'un. A ce moment précis, lèvres contre lèvres, nos deux corps communiquent: "prends mon air, perçoit moi au plus profond de toi, perçoit comme je te possède, reçoit cette énergie vitale, imprègne la de ta chaleur et possède moi à ton tour".

Courir.
S'activer en se pressant ; se dépêcher. Soudain, un train qui passe, des spectateurs potentiels pour nous rappeler à la réalité: nous sommes à découvert, pas de murs, pas de draps, pas de volets fermés, pas de tanière. Allongeons nous et courons vers ce que nous sommes venus chercher: "je te préviens, j'avale tout, j'en perds pas une miette". Quelques va et vient, quelques coups de langues et quelques emgobage plus tard, nous avons pu mesurer l'étendu de notre appétit. Une chose est sûre: nous n'avons laisser aucune trace d'aucun liquide corporel ni sur nos vêtements, ni sur le sol tellement nous nous sommes appliqués à ne rien en perdre après 3 semaines de régime sec.

Courir.
Aller tout droit à un état pénible, un échec, être proche de tomber dans cet état, de connaître cet échec : Vous courez à la faillite. Il court à sa perte. Effectivement, il y a cette partie là de la définition aussi, celle que l'on ne doit pas oublier. C'est bien pour ça que nous ne "courons" pas si souvent que ça, que notre but n'est pas de devenir des marathoniens mais des gens qui courent pour le plaisir, pour se faire du bien. Une sorte de loisir, une fois sur une jambe, une fois sur l'autre, alternativement, pour ne pas s'épuiser et prendre toujours autant de plaisir à s'époumoner tous les deux.


Voilà, je vous assure, preuves à l'appui, ce soir là, nous avons été courir, c'est le Larousse qui le dit.

Nous voici quelques semaines après notre séance de branlette matinale. Nous sommes samedi,

début d’après midi, Julien viens de me rejoindre après mangé pour passé une partie de l’après midi

ensemble.

On parle un peu de tout et de rien, la veille il me raconte qu’il a fait pas mal de sport et de voiture, il

a mal au dos…

Je lui propose donc une petite séance de massage (je lui en ai déjà fait quelqu’un en « toutes amitié »

lol). Il accepte.

Il se met torse nu, j’ai le temps d’admirer son torse bien dessiner, il se met sur le ventre. Je sors une

bouteille d’huile de massage, j’en fais couler quelques gouttes sur son dos et sur mes mains. Je

commence à lui masser le haut du dos, je descends, je remonte… Je me mets ensuite à cheval sur ses

fesse histoire d’être un peu plus confortable pour le masser. Je continu. J’arrive dans l’extrême bas

du dos, au niveau du haut des fesses, je tire un peu son pantalon ver s le bas. J’entrevois le haut de

ses fesses. Il a l’air super détendu pendant se petit massage, normal il faut dire que je masse super

bien (surtout depuis un petit stage de massage « érotique »)!

lui demander d’enlever son pantalon histoire d’être plus à l’aise. Il le fait. Le voila donc en boxer

allongé devant moi. Je continu à le masser, a descendre de plus en plus bas… Et à baisser son boxer

de plus en plus bas par la même occasion. Je lui dis qu’au point où on en est, ça serai plus simple de

le baisser complètement jusqu’aux genoux.

Voila donc Julien allongé fesses a l’air devant moi, quel beau spectacle. Je lui caresse et masse les

fesses, elles sont belles et toutes douces. Je continu ensuite a lui masser les cuisses.

A se moment là il me vient une idée, ça serai sympa d’immortaliser se moment… Je prétexte donc de

changer la musique qui tourne sur le PC pour faire une petite photo avec la webcam sans qu’il sans

rende compte. Ce que je fis. Malheureusement la photo est sombre et un peu flou. Mais qu’importe !

Rassure toi Julien je suis le seul à avoir vu cette photo ;)

Je lui propose ensuite de lui masser le coté, plus ou moins entre le dos et le torse, du haut jusqu'à micuisse

(comme appris en stage). Il remonte donc son boxer se met de coté. Mince, dommage pour le

boxer mais je suis tout de même super surpris qu’il veut continuer… (Mais a condition de ne pas lui

toucher la bite). Enfin bref il se met sur le coté gauche. Et là grosse surprise, sa queue est super

gonfler dans son boxer. Bizarre je ne savais pas que les massages ça faisait cet effet là…

demande si il n’est pas vraiment homo… non, bi peu être ?… non je ne crois pas non plus au final.

Dommage.

son boxer. (Plus pratique pour masser car ma main passe sur son aine gauche). Je lui demande de se

mettre sur le coté droit maintenant, et j’en profite pour rapidement aller dans son slip, attraper sa

grosse queue pour la ranger de l’autre coté du boxer. Il est surpris mais ne dit trop rien. Je continu le

massage du coté droit.

serra plus pratique ».

torse imberbe, passe a quelques centimètre de sa bite bien gonflée… quelle bonheur !

Je ne peux m’empêcher ensuite de braver l’interdit, je prends sa queue entre mes mains et

commence un léger mouvement de va et viens. Il me laisse faire perplexe, je lui propose de le faire

éjaculer comme la dernière fois, il me dit que c’est mort, que c’est tout pour aujourd’hui. J’insiste… Il

me propose de prendre une douche ensemble… Ok banco !

Il va dans la salle de bain, je range en vitesse l’huile, j’éteins les lumières et rejoint cet apollon dans la

salle de bain. Il avait presque débandé, je me mets à poil à mon tour. Ma queue été encor bien dur. Il

est surpris que je bande alors qu’il me m’a même pas touché, mais il y avait tellement d’excitation

pendant le massage que ça me pouvais pas être autrement. A se moment là je lui attrape la queue

pour le pignoler de nouveau, histoire qu’elle redevienne bien dur pour comparer les tailles quand

même ! On grimpe ensuite dans la douche, et là c’est lui qui me prend la queue et me branle, il me

dit que ça fait bizarre d’en avoir une autre entre les mains que la sienne, mais il continu… je reprends

la sienne et on se branle mutuellement. Après je lui dis que ça serai bien si je pouvais je sucer. Il

n’est pas d’accord. J’insiste en lui disant que je voudrais juste y « gouté »quelques secondes… « Bon

allé mais juste 5 secondes ». Je m’accroupi glisse sa queue dans ma bouche, la suce quelques

secondes. LE PIED et frustrant à la fois, 5 secondes c’est court ! Je me relève, lui fait un bisou sur la

joue. On se douche en se frottant un peu mutuellement, on se sèche, se s’habille, prend un p’tit

gouté puis il part.

Merci Julien ;)

Le colloc hétéro… Salut à tous, je profite de quelques mégaoctets que me prête gentiment Tendremec pour vous raconter une petite histoire qui m’est arrivé il y quelques temps déjà… Tout d’abord je me présente, Morgan, 26 ans, région Lilloise, homo. Il y a donc quelques temps déjà, ma poursuite d’étude m’oblige à me déplacer sur Rouen, puis quelques jours plus tard j’apprends que Julien, un de mes potes de fac doit également y aller pour ses études. Julien est un mec super mignon, drôle, intelligent… le mec parfait, sauf qu’il est malheureusement hétéro ! Pour ma part je suis pas mal non plus (du moins il parait ! lol), et petite chose importante personne ne sait à cette époque que je suis homo, même pas Julien. Donc ni une ni deux, nous voici en collocation ! Tous se passe plutôt bien, on se tape de bon délires ensembles, quelques soirées arrosées, d’autre s tranquilles à se mater un film etc… Puis à partir d’un jour (impossible de définir quand exactement), on commence à « jouer » a un petit jeu dont le but est de me mettre a plat ventre, puis il s’allonge sur moi et fait comme si il me prend ! Oui oui c’est bien ça ! Le mec « hétéro » que je kiffe grave me grimpe dessus et me prend !! Pour lui ça reste un « jeu » mais pour moi ça reste un kiffe monumentale. Même si on restait habillé je sentais son paquet contre mon cul… Je ne vous raconte pas l’effet immédiat de ma queue dans le boxer ! Il est même arrivé qu’un soir, on fasse la même chose en sous vêtements ! Encor plus excitant je sentais bien la forme et la chaleur de sa queue contre mes fesses… Trop bon ! Mais est t’il vraiment hétéro !? Apparemment oui… il a eu des copines avec qui ça à durer plus ou moins longtemps… j’essais régulièrement de lui proposer d’essayer plus mais ça marche pas, il prend mes propositions sur le ton de la rigolade, et moi je n’ose pas lui dire que je suis sérieux en lui proposant ça… si seulement il savait ! A partir d’une année, je remarque qu’on a beau être en collocation, mais on se voit de moins en moins… le soir il va voir ses potes, le week end il ne reste plus avec moi et on ne fait plus grand-chose ensemble (tient un peu de jalousie ??). Je lui demande donc si ça le tente de passer une partie du week end du 15 aout ensemble. Malheureusement le 15 ce n’est pas possible mais tout de même il débarque à l’appart le samedi 18 en fin de matinée… Il arrive donc à l’appart, moi j’étais sur mon lit en train de jouer au pc. On mange ensuite un morceau on papote un peu, puis je retrouve un peu dans ma chambre, je m’allonge un peu a plat ventre sur le lit pour mater deux trois truc sur le PC, c’est alors qu’il arrive et commence à me grimper dessus (une fois de plus !) Je commence bien sur à bander, sauf que cette fois ci je n’arrive pas a cacher mon érection en me relevant. C’est alors que je lui propose de ma la palper a travers le pantalon, ce qu’il fit a ma grande surprise ! Il ajoute ensuite qu’il est surpris par la taille… Ha bon pourquoi ? Je suis pourtant largement dans la moyenne voir même un peu plus. Je lui demande donc de se justifier, je commence alors à lui tâter l’entre jambe a travers le pantalon, le caresser histoire de faire monter le tout… et là HO surprise ça queue commence à gonfler, gonfler, gonflé encore et encore ! Bref elle été ENORME ! Pas étonnant qu’il trouvait la mienne « petite ». C’est alors qu’il commence a me « retourner » pour mettre son énorme engin contre mes fesses, je vous dis pas comment je la sentais bien ! Puis ensuite je commence à placer ma main entre sa queue et mes fesses, histoire de continuer de palper un peu… ça a l’air de ne pas lui déplaire… Je tente donc ensuite de la glisser dans son pantalon… Pas évident avec la ceinture et le bouton du pantalon… Mais pas de problème il m’aide en desserrant le tout lui-même ! Je commence alors à lui palper la queue à travers le slip. Mon dieu qu’elle est énorme et chaude ! On est resté un bon 5 minutes comme ça, a trippé, on discuter en même temps, tranquille quoi… Ensuite je tente d’allé plus loin, je glisse ma main tout doucement dans son slip, sur le coté du pubis sans lui toucher la queue (pour pas le brusquet quand même !). C’est alors que d’un coup de rein habile il la place lui-même dans ma main. Je n’y crois pas pas, j’ai ma main dans le slip de mon colocataire, et je branle tout doucement son énorme queue, je sens qu’il mouille et j’étale doucement cette petite goutte sur son gland. L’extase ! On reste alors quelques minutes comme ça, puis il me demande de tout arrêté, j’enlève donc ma main, il reboutonne le pantalon. J’en profite alors pour lui grimpé a mon tour dessus, je prends sa main et la met dans mon pantalon, il me tripote un peu aussi… je lui demande alors de la passer dans mon boxer. Il me prend alors la queue, fais quelques aller-retour. Quelques minutes plus tard nous voilà tous les deux le pantalon reboutonné, les queues ramollies… Et oui d’un commun accord (du moins plutot d’un accord de sa part) on a tout arrêté… Il trouvait que ça faisais un peu trop « Pédé » (ha bon ?). On part ensuite tous les deux faire un tour en voiture. Le soir venu, on passe une soirée jeux vidéo, TV. On se prépare pour aller se coucher, on se retrouve tous les deux en caleçon… et la je ne peu m’empêché de lui reparler de la taille de sa queue, j’en profite même pour la toucher et branler a travers le caleçon… Nouvelle érection et cette fois ci je peux me rendre vraiment compte de la taille ! Il me branle aussi vite fait a travers le caleçon, puis après on part se coucher… Il ne se passa ensuite plus rien pendant un peu plus d’un an… Suite au prochain épisode !