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  • : Les tribulations d'un homme parmi tant d'autres, amoureux de sa fiancée ... mais ne résistant plus à l'envie de goûter au plaisir "défendu" entre garçons. Faites gaffe y'en a pour une dizaine d'années d'articles ... bon courage !
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Jeudi 20 novembre 4 20 /11 /Nov 09:13

Le deal premier était celui-ci
Une branlette entre pote, 4 mecs reunit pour se faire plaisir tranquillement devant un petit porno .
Finalement au lieu de 4, on était 3 et on ne peux pas vraiment dire qu'il y ai eu branlette collective, du coup ce fantasme est encore innasouvi. On avait aussi laisser la porte ouverte, pas vraiment balisé les choses alors ...

Je suis donc arrivé avec Tom chez ce troisième homme, plutôt mal a l'aise il faut le reconnaitre, les phrases toutes faites, les silences pesant ce qui me semble inévitable ou presque quand on se retrouve dans une situation inédite.
Je me suis servi de la bière pour m'engourdir un peu et me deshiniber oui oui je sais c'est mal.
2 bières plus tard et aprés être rester a distance plus que raisonnable et tout habillé dans les canapés, nous sommes donc allés dans une chambre, j'ai beaucoup aimé la phrase de Tom du genre "Et donc, là on est censé s'allongé sur le lit c'est çà ?" A trop avoir laisser les opportunités ouverte on semblait plutôt perdu.
Nous voilà donc allongé tout les trois sur le lit, les mains commencent à se balader, les corps à se froler, Tom retire mon tee-shirt comme le coup d'envoi à se dévoiler un peu plus . On échange des baisers, je regarde Tom se faire embrasser et oui çà m'excite. Quelques baisers à trois langues, nous sommes maintenant tout les trois nus sur ce lit.

Le troisième homme semble en vouloir particulièrement à la queue de Tom, il reussit à l'avoir en bouche, tantot je regarde çà, tantot je l'oublie en embrassant Tom, tantôt je viens moi aussi sucer la queue de Tom.
Tout comme eux aussi ils viennent s'embrasser sur ma tige en la prenant à tour de rôle. De notre côté nous branlons le troisième homme sans jamais porter son sexe à nos bouches. Oui en effet avoir le rôle de troisième homme ne doit vraiment pas être évident en fait, j'espère qu'il n'y a pas eu de frustrations pour lui.
De temps en temps les dogts de Tom cherchent à s'engouffrer en moi, je les retiens souvent n'en éprouvant pas forcement l'envie. Et puis à mon tour j'ai envie de son petit cul que je prend pendant qu'il embrasse ce troisième homme, excité j'ai envie de faire un peu de rodéo et je viens grimper là où il faut.
Tom jouit en moi

Je jouis sur lui
Le troisième homme jouit sur Tom.

 

On se douche, on se rhabille et on part en courant, on a laisser l'heure filer.


De branlette collective il n'en est pas vraiment question et pour que celle-ci se réalise un jour pour le mieux, il faudra prendre son temps et instaurer une atmosphère bien détendu, du coup pas sur qu'avec le peu de temps qu'on ai de disponible on puisse faire bien les choses.

 

 

Par tendremec - Publié dans : plan Q
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Mardi 18 novembre 2 18 /11 /Nov 09:19

Enfin un moment ensemble. Je ne m'étendrais pas sur celui-ci juste quelques mots et quelques ressentis

Aujourd'hui à le voir là devant moi, a pouvoir enfin en faire ce que je voulais, j'ai eu envie de son cul, ca m'a pris comme çà, pour le coup cela ne m'arrive pas souvent mais cette fois c'était le cas et il s'est gentiment laissé faire. Sur la table de la salle à manger son petit cul rien que pour moi et ses yeux dans les miens.
On a encore tellement de chose à vivre et à ressentir ...

Par tendremec - Publié dans : plan Q
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Jeudi 13 novembre 4 13 /11 /Nov 08:52

26 jours que je n'ai pu toucher à sa peau

26 jours que je n'ai pu boire à ses levres
26 jours que je n'ai pu goûter à son corps.

Est-ce qu'on en a fait trop à Varsovie?
Avait-il besoin d'un long break pour remettre ses idées en place ?

Le break est-il assez long maintenant?
Je penche plutôt pour un concours de circonstance mais il est vrai que ca fait un moment que cela ne nous étais pas arriver un aussi long moment sans gouter l'un a l'autre.. nulle doute que nos retrouvaille seront charnel et peut-etre un peu plus appuyés que d'habitude, du moins si nous en avons le temps. C'est à ces moments là que j'ai envie de mettre une petite vidéos de nous faisant l'amour, pour avoir l'impression d'y être, il va falloir qu'on en tourne quelques une histoire d'avoir de la matière un peu plus concrete que des souvenirs, même si les souvenirs fonctionnent très bien pour faire repartir la machine .
Normalement on se retrouve demain, mais demain nous dira en quelle circonstance et en quelle mesure.

Par tendremec - Publié dans : la vie suit son cours
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Mardi 4 novembre 2 04 /11 /Nov 10:35

Ce week-end à Varsovie est maintenant derriere moi, les souvenirs ne s'efface pas mais les sensations sont redescendus, elles sont parties et tout çà peut maitenant disparaitre dans le brouillard  je peux tourner la page et  écrire un nouveau chapitre de l'histoire.

J'ai envie de lui, la maintenant, j'en bande,  envie de ses levres, de sa peau, de son souffle, de son corps, je n'irais pas plus loin sinon ca risque de dégénérer dans mon calecon...

J'aime à ne pas savoir de quoi la suite sera faite, je tatte le terrain pour les prochains fantasmes que l'on a évoqué, cette branlette collective et ce jeune mec pret à nous sucer tout les deux, je ne vois pas plus loin que le bout de mon nez je n'ai jamais été un homme à faire des projets sur le long terme.

 

Profitons de l'instant présent .

Par tendremec - Publié dans : la vie suit son cours
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Jeudi 23 octobre 4 23 /10 /Oct 11:05
Merci à Varsovie, Une ville qui nous a offert deux nuits
Deux nuits passées ensemble, deux nuits de plus à ajouter a celles déjà vécus ...
La première nuit dans un vrai lit, une nuit qu'on attend depuis presque un an, une nuit rien qu'à nous, loin de tout.
Une nuit que l'on veut interminable à prendre des boufées l'un de l'autre en sachant que tout cela ne sera qu'éphèmere et qu'après il faudra tout enfouir en soi le plus vite possible. Ne plus se lacher de la nuit ou alors très peu, s'en donner des torticollis, sentir la peau de l'autre tout près, dormir nus évidemment côte à côte en se disant qu'on ne recommencera pas demain que ce n'est pas bien et pourtant en esperant fortement qu'il n'en sera rien, le matin en reprendre un peu histoire de bien commencer la journée.

Car oui il y a cette culpabilité,  la culpabilité non pas de le faire, mais d'infliger cela à notre ami, a ce troisième larron sans qui ces voyages ne seraient pas les mêmes, pas tout à fait complet, bancal.
Savoir qu'il est là, qu'il est au courant de tout et qu'il ne dit rien, qu'il n'en dit rien, qu'il laisse faire et vivre. Esperer juste qu'il ne pense jamais qu'il soit de trop.
Au bout d'un moment la culpabilité s'efface et on se perd, ne pas pouvoir s'en empecher, s'empêcher de se retrouver quelques moments à deux, être des grands gamins égoîste sans doute.
Redevenir des ados, dans les draps, dans les boites de nuit, avec ses mains frolées et ses baisers volés.

Le lendemain recommencer ailleurs, dans le canapé grincant du salon, entendre des ronflements de l'autre coté du mur et puis succomber.
Jouer un autre jeu, celui de refuser les avances, les baisers, de dire qu'on va partir ne pas se laisser faire, lutter en silence sentir les muscles se tendre et puis se faire retourner sur le dos et sentir une queue y venir un peu de force. Tout faire pour éviter les grincements du matelas, se poser le dos sur la moquette la croupe en l'air et se laisser pilloner, se faire approprier et aimer çà .. Etre a lui tout entier pour une nuit encore.
Avoir du mal a jouir avec ces litres de bières et l'heure tardive d'après boite de nuit, perseverer et réussir enfin. Puis aprés une courte nuit, au petit matin recommencer le chevaucher à sec (j'ai encore mal aujourd'ui) le faire jouir sans lacher l'affaire, ne plus savoir au bout du compte lequel de nous est le plus fou.


Vivre la dernière journée dans un brouillard complet, rentrer chez soi et tâcher sans succès de ne pas trop y repenser savoir que tout çela va passer mais ne va pas s'éffacer, pas encore.

Se sentir au mieux, plus que bien même si on est de temps en temps sur le fil, espèrer juste que l'autre est toujours sur la même longueur d'onde que soi.
Vivre tout simplement.
Par tendremec - Publié dans : plan Q
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