Il existe pas mal de substance pouvant provoquer une désinhibition, en cette huitième journée des vacances c'est ce qu'il nous est arrivé. A force de se tourner aprés depuis une semaine il fallait que cela sorte, disons que c'est le hasard qui a rendu les choses possible, pour une fois nous n'avions rien prémédité ...

Ce soir là, on été dans la cour, on a fini la soirée un peu plus tard que de coutume et on a picoler aussi un peu plus.

En fin de soirée les enfants étaient couché et les filles sont partie elles-aussi se coucher, on est rester a trois avec mon bo-frère, on a continuer avec un peu de liqueur, . Tom est parti chercher du café et il a constaté que les filles était dans la même chambre et qu'elles s'étaient endormi .  Il m'a alors lancé un truc du genre "Ce soir, tu dors dans mon lit" .

Le café terminé, nous sommes donc repartit à l'appart, nous avons laissé mon bo-frère sur le canapé et nous nous sommes engoufré dans la chambre de Tom, nous nous sommes rapidement retrouvé en calecon et il n'a pas fallu longtemps pour que nos levres se collent, que nos mains se trouve, que nos caresses se fassent insistante.

Il ne fallait bien sur faire aucun bruit, et sa femme pouvait revenir à tout moment dans la chambre. J'ai quand même reussi à le faire jouir, et il m'a chevauché il avait comme une grande envie de se faire prendre là dans cette situation très particulière. Aprés cela, nous nous sommes séparé, chacun d'un coté du lit, il n'était pas question que sa femme entre et nous trouve pied dessus pied dessous.

Quelques temps aprés (minute/heure..) sa fille s'est reveillé, nous reveillant par la même occasion, nous nous sommes de nouveau touché et excité, de mon coté je n'ai pas reussi à jouir à nouveau, trop claqué. Nous nous sommes rendormi chacun de notre côté, quelques temps aprés sa fille s'étant de nouveau réveillé, sa femme a ouvert grand la porte et on a regagné nos places.

Il devait être a peu près 2h quand je suis remonté me coucher avec ma femme, en flippant comme un peureux de sa reaction, manque de peau j'ai reveillé a mon tour mon petit dernier qu'il a fallu endormir de nouveau mais pas de reaction désagrable de ma femme. Je me suis fait tout petit jusqu'au lendemain matin ...

En y reflechissant, on a pris un risque énorme, mon bo-frere a très bien pu entendre de drêle de bruit, de matelas, de baisers, de succion et puis sa femme aurait pu rentrer à n'importe quel moment sans prévenir, encore une fois où on l'a échappé belle et un putain de souvenir en mémoire.