Hier, dernière discussion avec Tom' il a prit la route pour les vacances ce matin.  C'est lui qui m'a soufflé l'idée de cette article.

Acte I:

Tom'

Tendregosse

Scène I :
Chacun en face de son ecran de son PC, deux garçons passent et repasent sur le même site gay dit "de rencontre" où les dialogues s'ouvrent, se referment, commencent puis meurt d'eux même. Puis grand hasard, ils se retrouvent connecté en même temps, face à face sans se visualiser et engagent une conversation qui comme toutes les autres peut mourir à tout instant, d'une simple déconnection.

Le temps passe, la grande coïncidence est abordée, ils ne sont pas deux garcons célibataire et chose peut commune, ils sont deux garçons menant une vie d'hétéro et n'ayant aucune envie de la changer. Alors la connivence aidant, ils commencent à transformer la correspondance du tchat par une corespondance par mail. Les mots peuvent enfin se délier, les idées peuvent prendre tout leur temps pour s'y developper, les anecdotes fusent, les secrets aussi.
Fin de la scène, les deux garçons affronte le réel, Tom' invite Tendregosse à prendre une bière, les silences ne sont pas trop pesant, Tendregosse qui ne veut pas se faire à fantasmer la chose comme il a pu le faire auparavent, embrasse Tom' sur les lèvres et s'en va.

Scène II

Tendregosse se fait griller, il annonce a sa copine qu'il  a eu des relations sexuelles avec des hommes, la confiance est rompue, il s'eloigne du net, lui fait des promesses qu'il sait qu'il ne tiendra pas, jamais elle n'aurait du savoir, jamais, tout allez si bien depuis toutes ces années, leur complicité était sans faille puisqu'il était épanouie.
Tendregosse coupe de nombreux liens dans ces relations pour ne garder que la crème , le sujet n'est plus jamais évoqué il reprend contact avec Tom et le dialogue est relancée, la relation devient alors exclusive

Scène III

cette scène doit être interdite au mineur, Tom' et Tendregosse se voit, se revoit, chez l'un chez l'autre, dans la douche, sur le fauteuil, sur le tapis du salon, sur le sol, ils s'apprenent l'un l'autre, il se dévoile petit à petit. L'envie de sexe est toujours grandissante, ils passent une nuit ensemble, ils vont dans un sauna gay, se font quelques cinés, se marrent bien font des ballades au parc.  En quelques sortes ils nouent une relation "d'amitié secrete" dans laquelle le sexe à une part importante, il se disent tout, pour une fois qu'il n'ont rien à cacher l'un de l'autre. Puis une idée germe dans leurs esprits "tordu", et si cette amitié pouvait se vivre au grand jour, n'en serait elle pas plus simple, plus correct ? Ils cherchent le point commun qui pourrait les unir. L'été sera vite là, ils décident alors de louer un emplacement dans la même région, dans la même ville, dans le même camping ou il n'y a qu'une piscine unique et de laisser faire "un peu" le hasard.

RIDEAU

Quel chemin prendra cette pièce, Tragédie, vaudeville qui se termine bien ou pièce moderne.

Il entre, met un bandeau sur ces yeux, vient se positionner au centre du salon et commence son effeuillage.

Je tourne autour de lui, le regarde sourire de la situation, ses habits tombent un à un,  il garde juste le caleçon comme prévu, je le laisse un peu avec sa "solitude" puis je m'approche de lui, de ses joues, de ses lêvres, de son visage. Mes mains se posent sur lui, sur son cou, son torse, sces fesses, elles caressent, palpent et ressentent la peau.

Une tomate-cerise roule le long de sa peau, remonte en nos levres, s'imisce entre nous puis on la croque à pleine dents.

J'ôte rapidement  quelques vetements, je fait descendre son calecon, libérant un objet du délit, qui était là depuis le debut déjà bien éveillé.  Je passe à coté, respire sa présence,  devine la chaleur qui s'en dégage, je passe mes mains, mes levres, pose ma bouche et l'englouti.

J'emmene Tom' sur la chaise de bureau, il s'assoit, nous sommes nus tout les deux, nos mains se baladent , mes yeux se baladent, les siens sont toujours dans le noir. Il entend un bruit et il sourit.. Monsieur à l'ouie fine il vient d'entendre le déclenchement de l'appareil photo sans doute trop près de son oreille. Ma queue s'approche de ses levres de plus en plus prés, il ouvre la bouche. Je reviens avec une pointe de pate à tartiner saveur speculos sur le bout du gland il semble particulirement prendre le temps de dégustes.

Je lui prend la main, on monte en direction de la chambre, la chambre qu'il découvre pour la première fois, la chambre qui lui est interdite sauf aujourd'hui où on doit changer les draps. Une pause dans l'escalier il semble vouloir  s'accrocher au "baton".

Dans la chambre, sur le lit, je lui retire le bandeau, j'ai envie de voir ses yeux, la plaisanterie à assez duré ...

On batifolle, on se prend la queue, la bouche, les lèvres, la peau. Il me propose d'essayer du lubrifiant, je decline l'offre, mais qu'est-ce qu'il faisait avec du lubrifiant sur lui le bougre ? Et pourquoi je décline toujours, faudrait que je me pose la question. On continue à tourbilloner, merde je sens que ca vient trop vite, une goutte s'échappe malgrès elle. Il approche mon gland de sa bouche, y passe la langue et me fait jouir, laissant couler dans son cou la substance illicite. Je branle à mon tour sa queue qui aujourdh'ui je ne sais pas pourquoi,  m'est apparu plus "grandiose" que d'habitude.

On reste un peu étendu là, humide,  puis la fin de la sieste sonne le départ de Tom'.

Avant d'avoir un enfant, certains de mes contacts me disait.. tu verra quand tu auras un enfant, tu seras plus serieux, peut-etre même que tu arretera tes conneries, tes plans... Certains allez même jusqu'à dire que ca serait trahir mon enfant que de continuer...  A l'époque je pensais que c'était des conneries.. et aujourd'hui j'en suis totalement sur.. je ne vois pas du tout ce que le fait d'avoir un enfant peut bien y changer...

Il y a juste une petite chose que je m'etais dite en passant quand l'enfant est arrivé dans la vie, pas de plan alors qu'elle est à la maison... Ca parait d'une logique implacable cette pensée mais ce n'est pas si simple en réalité.

J'ai déjà dérogé à la "règles" (qui n'en etais pas vraiment une) quelque fois. A la naissance, le deuxième jour peut-être quand ma femme était encore à la maternité et que aprés 48h sans fermer l'oeil je suis rentré chez moi, mon contact du moment est venu me retrouver a la maison et nous avons fêter çà au champagne. Quand j'y repense ca peut paraître déplacé, vous me direz ce que vous en pensé.. néanmoins c'est comme cela que çà c'est passé.... [j'en ai encore des choses à raconter ici]

Ensuite quand elle devait avoir 3-4 mois une autre personne est venu a l'appart , je n'ai absolument rien pu faire, un café et c'est tout je crois que je me sentais terriblement coupable de ce qui était sur le point de se passer.

Lorsque j'ai déménagé, j'ai eu l'occasion de revoir deux très bons contact [de très longue date] de passage, alors je les ai invité à la maison. La petite n'a jamais voulu faire de sieste, elle devait avoir 6-7 mois.

Maintenant elle grandi, elle commence à balbutier il est evident que ces situations ne seront plus possible avec le temps, qu'il me faudra trouver des palliatifs. Les rencontre innopinés au parc c'est pareil, il va falloir  y mettre un terme.

Enfin hier j'ai renouvelé l'esperience et pour le coup je n'ai ressenti aucun sentiment de culpabilité, la sieste à débuté à 14h45, Tom' est arrivé vers 15h et vers 16h aux premiers cris d'eveils il s'est envolé.

PS : Je ne peux pas mettre cet article dans la catégorie "plan cul", d'ailleurs j'ai de plus en plus de mal à considérer ce que je fais avec Tom' comme un plan cul.

[n'ayez crainte tout va bien, cette phrase n'annonce pas une ébauche de sentiment ou autre chose c'est juste une constatation, je me vois déjà recevoir des mails pour savoir si tout va bien...]