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Mardi 21 décembre 2 21 /12 /Déc 15:55

J'ai tâtonner et tâtonner quand à la manière d'écrire ce texte,  je ne suis pas convaincu de son efficacité, peu importe il a le mérite d'exister.

La dernière entrevue à la maison avec Tom a été torride dans le sens "chaleur" du terme.
Comment expliquer qu'à peine ses lèvres s'approchent des miennes, que ses doigts se posent sur ma peau,  ce sont les degrès de mon corps qui augmentent. C'est vraiment plus que de l'excitation, ca vient de plus loin que çà et se termine plus tard encore.
On pourrait peut-être mettre çà sur le coup du froid exterieur de décembre, mais cela serait evidemment se voiler la face.  C'est le corps qui parle tout simplement, il prend les rennes (c'est de saison) et il réagit tout seul, la seule chose inteligente que l'on puisse faire c'est de le laisser s'exprimer et d'essayer de le suivre tant bien que mal.

Ca me rend totalement dingue quand ses lèvres entrouvertes font mine de se rapprocher des miennes, quand mes baisers manquent leur cible, quand enfin on se laissent embrasser et que nos salives se mélangent, puis quand nos mains et nos doigts parcours l'autre. Même de mes soupirs je n'en suis plus maître, à ce moment-là ils semblent eux aussi vivre leur vie , je ne les contrôlent pas, ils s'échappent de ma poitrine sans me demander mon avis, comme pour expulser un trop plein.

 

A peine est-il là que l'envie de ne faire qu'un reprend ses droits, se serrer fort, très fort, trop fort, fusionner, nos corps qui se frottent, nos peaux qui s'enflamment, nos queues gonflées qui se frolent au travers du tissu, souvent j'ai l'impression d'halluciner, de rêver, puisque le rêve on ne le contrôle pas. Je pourrais facilement jouir comme çà, sans rien faire de plus. On est, enfin je suis je vais parler de moi uniquement, dans une sorte de passion sexuelle.
Ne pas réfléchir, se donner à l'autre complêtement, laisser les choses vivre d'elle même, mon dieu que c'est bon. On doit tellement tout contrôler, tout le temps, faire gaffe aux moindres petites choses que se lâcher completement de temps en temps me fait un bien fou.

 

Etrangement,  car je pensais que cela nous seraient néfaste avec le temps, ces sensations sont saines chez moi, elle ne me créé pas ensuite de problême de concentration en dehors de notre "bulle",  j'arrive très bien à faire le vide de lui une fois qu'il est parti, à me retrouver dans ma vie de tout les jours. Maintenant il est evident que pour éprouver un sentiment de manque il faudrait qu'il y ai un manque et pour le moment nos rencontres ne sont jamais très espacés je dirais même que plus le temps passe et plus elle se raproche. On profite de ce que la vie peut nous donner on ne sais pas de quoi la suite sera faite.

 

Je n'aurais pas le temps d'évoquer la séance crapuleuse de ciné de cette aprem', je me demande même si j'ai envie de l'évoquer, si ne veux pas garder pour moi certaines choses de cette relation... Même si aprés tout , ce n'est que des mots.

 

Pour conclure, je dirais que ca fait du bien de se sentir dépossédé.

Par tendremec - Publié dans : la vie suit son cours
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