Une petite baise, impromptu, sans crier gare, sans s'y prendre 3 jours avant, voilà ce qui est bon.

Les vacances sont toujours synonyme de peu de contact entre Tom et moi, emploi du temps light et lieu non disponible.
Voilà qu'en rentrant chez moi, par le plus grand des hasard, je le croise sur la route, il n'en fallait pas plus pour m'ouvrir une petite lucarne d'imagination et d'excitation. J'ai un garage vide dont j'ai les clefs voilà donc une porte ouverte à une nouvelle exploration. Un lieu, une heure tout y est. Un passage par chez moi histoire de me préparer le cul (préparation raté au passage oui, quoi qu'on en dise la sodo reste un sport risqué ...)

Me voilà donc en direction de mon garage, il fait chaud, tres chaud, j'ouvre la porte que je laisse entrouverte histoire de montrer la voie à Tom et puis je m'y engouffre, je retire d'abord mes chaussures, puis mon pantalon, j'ote mon tee-shirt. Je suis dans mon garage en chausette, boxer la porte ouverte à attendre et je n'ai qu'une hâte, voir sa ptite gueule et sa ptite queue se pointer. Le temps commence à s'allonger, la chaleur à gagner, je décide de garder les chausettes, c'est pas tout propre quand même la dedans mais de retirer mon boxer.

Et j'attend, là, à poil ou presque dans ce garage vide avec des restes des anciens locataires qui trainent et un sommier de matelas adossé au mur.  L'attente fut un peu longue et flippante, et si quelqu'un d'autre se pointer, et si par curiosité il passait sa tête par la porte ouverte et tombé nez à nez avec moi, a poil, le cul offert. A mon avis la personne prendrait ses jambes à son coup en n'en pensant pas moins... Mais rien, pas même une voiture qui s'approche.
J'attend encore chaudement, les mains plaqué à la brique, les fesses rebondis, excité, l'esprit en chauffe.

Puis des pas sur le gravier, le l'aide à entrer on referme à clefs derrière nous, il est là enfin. Se deshabille également se place face à moi, m'embrasse, exerce une legere pression sur ma tête, me fais mettre à genoux et enfourne sa queue déjà bien raide entre mes levres.

Le reste suit son cours simplement, il m'invite à me retourner, je me cambre sans resister, un coup de langue, quelques crachats, un doigt qui passe et pas longtemps aprés je sens son sexe glisser entre mes cuisses a la recherche d'un endroit à butiner ... Je laisse alors la "petite" abeille, me picorer allégrement.
Je lui demande de s'adosser au mur et je viens délicatement poser mon trou la où il faut et je m'applique avec mes fesses à faire monter la seve . Puis il reprend la main je penche plus encore et il butine allégrement sans faiblir; sa queue, ce que j'aime sa queue quand elle fait çà. Je le laisse déposer son miel bien au fond, j'ai chaud, je suis en nage.
A mon tour, je veux jouir, je me branle au milieu du garage, qu'importe ou va s'échouer le sperme ...

Désolé pour ceux qui voudraient des images sur les mots mais ce n'est pas encore pour maintenant, même si en y reflechissant bien il y aurait très bien pu avoir un troisième homme muni d'un apareil photo dans cette espace fait de briques et de poussières ...