Le blog de lepremierjourdurestedemavie.erog.fr
Elles ont bon dos les seances de footing... cette fois on a couru un peu.. j'ai opté pour deux tours de stade mais Tom lui grand sportif a voulu que l'on pousse jusque trois... il faut dire aussi qu'on été déjà bien excité par ce qui s'était passé avant, les quelques minutes qu'on à passé seul a la maison nous on suffit a faire enfler l'excitation et a prendre la mesure de ce que nos corps avaient envie...
Le chemin en voiture qui nous a amené vers le terrain de sport était pas mal non plus, ma main glissé dans son jogging aimant se qu'elle découvrait sous ses doigts, cette queue humide gonflée jusqu'a ce que BOOM on explose le retro de la bagnole contre un poteau... Ca aurait pu etre pire mais en tout les cas, nul doute que la concentration a ce moment là n'était pas optimum, il faudra y penser pour la prochaine fois ...
Avec ce petit événement la bête s'est rendormi et elle n'a commencé a s'eveiller qu'aprés les 3 tours de pistes.
Pour la première fois, on est parti visiter plus loin, voir ce qu'il y avait de l'autre coté du stade, on a trouvé une route sans grand passage alors on a été voir jusqu'ou elle mené.
On s'est retrouvé sous un pont d'autoroute, avec le chemin de fer passant juste à coté et une piste cyclable a nos pieds, on a commencé par s'embrasser, mélant nos langues, posant nos mains la queue déjà bien raide, personne aux alentours pas ames qui vivent sauf le bruit des voitures au dessus de nos têtes.. alors il s'est mis a genou et il a pris ma queue entre ses levres, entre sa bouche et il m'a sucé. mon regard allait partout, de haut en bas, de droite a gauche, excitant mais flippant, comme la dernière fois derriere la butte j'étais pas sur de moi.
Quelques temps aprés çà, je pense qu'il etait en train de me pomper, un gars en moto a surgit de nulle part , on s'est vite rajusté, je ne sais pas trop ce qu'il a pu voir, il n'a fait que passer.. la evidemment le coté peur a pris le dessus de mon coté. Mais voilà mon ptit cul avait une irrepressible envie de se faire prendre, j'avais envie de le sentir en moi depuis le temps, sentir ces mains posé sur mes hanches sa queue cherchant le chemin.
Les pantacourts furent abaisser juste pour laisser passer sa queue tendu et mon cul rebondit et sa queue chaude trouva le chemin toute seule, elle penetra sans problème dans mon petit cul qui semblait n'attendre que çà, alors il me prit, etrangement mon attention vers ce qui pouvait se passer autour de moi était moins grande, en même temps que je sentais sa queue en moi, j'avais une vue d'ensemble comme si j'étais au dessus de nous, comme si je nous mattais en train de faire l'amour là sous ce pont d'autoroute offert a toutes vues, dans cette endroit glauque.
Toujours en ayant peur d'etre surpris j'arretais la machine, me rhabillai un moment et puis trop excité reproposé mon cul a qui voulait bien le prendre.. Au final la peur l'a emporté je me suis dit qu'on pourrait finir ca tranquille sur le parking oui mais voià en repartant vers le stade, le parking était visible de tous et on a préféré rentrer ....
Encore une expérience que personne ne pourra nous voler....
Tom un petit texte la dessus ?
et les lecteurs ils en pensent quoi?
Quand à moi j'ai la queue qui va exploser a vous avoir raconter çà, je vais aller me soulager un peu
il est evident que pour expliquer le retro casser ce n'est pas une raison valable :-(
Il y avait peut être ce chauffeur routier un peu fatigué mais content d'être à Lille à 19h de façon à pouvoir passer Paris vers 21h avant de s'arrêter pour dormir et ainsi éviter les bouchons le lendemain matin. Egalement cette jeune cadre dynamique tout juste sortie du boulot, forçant un peu sur la pédale d'accélérateur pour pouvoir croiser le regard de ses enfants avant qu'ils ne soient couchés. Ce quadragénaire conduisant d'une main son joli 4X4 flambant neuf hors de prix et énergivore, son autre main occupée à soutenir sa lourde tête pensive, coude appuyé contre le rebord intérieur en cuir de la portière. Il était soucieux, se demandait quel serait l'ordre du jour de la dispute quotidienne avec son épouse et lequel des deux allait avoir le courage de prononcer le mot "divorce". En cherchant bien on devrait apercevoir aussi sur ce pont d'autoroute 3 amies dans une petite citadine à la couleur aussi pétillante que la mine de sa conductrice. Toutes 3 lunettes de soleil, lèvres, mains et tête en rythme avec le dernier hit passant à la radio, accouchant d'un fou rire collectif de temps en temps. On pourrait aussi voir cette dame avançant sur la voie de droite, le siège bien raide, réglé de façon à ce que ses genous touchent presque le volant lui donnant un air toute recroquevillée sur celui ci, les 2 mains à 10h10 selon la règle enseignée par son moniteur d'autoécole il y a bien longtemps et à laquelle elle n'avait jamais dérogée, avançant les yeux fixés sur l'horizon, se crispant encore un peu plus à chaque fois qu'un camion daignait la doubler.
Tout cela, et bien d'autres, ne pouvaient se douter de ce qui se passait sous leurs pieds. Deux hommes dont leurs femmes pensaient qu'ils étaient entrain de s'époumoner autour d'un stade. Deux
hommes qui ont établi un coup de maître en réussissant à être ami dans la vraie vie uniquement en se retrouvant au même endroit, au même moment, à quelques 800 Kms de là 2 ans plus tôt. Deux
hommes dont l'irrésistible envie de se goûter encore une fois les avait poussés à aller explorer un chemin encore inconnu jusqu'alors. Deux hommes qui n'avait aucune honte ou culpabilité à se
trouver là, juste une petite peur de se faire surprendre, non pas par leurs femmes mais par un inconnu qui pourrait passer par là. Deux hommes dont l'excitation de cet endroit incongru avait fini
par avoir raison de la peur, langue contre langue, sexe contre langue, langue contre sexe et même sexe contre cul. Au milieu de ce décor fait de tags, de voie ferrée, de vrombissement de voitures
et de klaxons, un livreur de pizza est venu leur rappeler que le tableau était également traversé par une piste cyclabe, bien trop entretenue pour être abandonnée. Après un sursaut d'excitation,
il était temps de rentrer: la peur avait vaincu.
Il ne restait plus qu'à se mettre d'accord sur un scénario commun expliquant qu'il manquait un morceau du retroviseur de la voiture, résultat d'un manque de concentration du aux caresses
insistantes d'un amant sur l'autre.... et puis rentrer chez soi, l'air de rien^^
c'est un peu plus qu'un commentaire .
bien bandant !
moi aussi j'adore qu'on me touche en conduisant histoire de chauffer la machine... mais attention aux écarts !